D’où vient cet élan ? Est ce de la feuille d’or qui captive le regard du premier jet ? Ou de cette orgie de couleurs qui cherche le feu divin ? La feuille d’or peut elle compenser ce besoin de se brùler les ailes de mille feux en caressant la voûte du ciel ? Nawal SEKKAT ne sait pas trop ; elle se laisse envahir, quand elle peint par ce silence qui habite toute chose. Emerveillée, elle se livre à cet ivresse qui jaillit des tubes sur la toile fragmentée. Patience. Le phénix renaitra de ses cendres.